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Tout le monde le sait ; c’est le contrôle de gestion qui pilote l’Entreprise. L’objectif primordial est l’atteinte de la profitabilité ; le reste n’est qu’un prétexte affiché pour aboutir à cette fin (répondre au besoin du client, à ses attentes, à sa survie, à Hana, au Cloud…).
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Au CE, c'est l'affolement. Les élus majoritaires sont terrifiés. Et si les enregistrements des débats en réunion de CE parvenaient aux oreilles des salariés ?
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C'est bien connu ; chez SAP les réorganisations durent le temps que durent les dirigeants qui les ont mises en place. C'est la flexibilité SAP ! Parfois, les réorganisations changent même en cours de mandat : cela évite de faire des comparaisons (meilleur/pire qu'avant). On connait bien le phénomène du balancier en matière d'organisation...
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Après la visite de Tomas Struzek (Head of Global Services & Support EMEA & MEE) le 10 mars à Paris, le projet One Service est toujours dans les « Clouds ». Les courriels de la Head of Global Consulting Delivery ont beau s'accumuler, qui peut savoir où l'on va en matière d'emploi ? Pas le CE en tout cas. Car le Head of GSS France & Belux a rappelé le 20 mars dernier en séance que celles est ceux, qui prétendaient savoir, vont plus vite que la musique : lui, il n'en sait rien. Il l'a rappelé plusieurs fois lors de son intervention Mais on lui demande de s'y préparer pour une mise en œuvre rapide ...
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Once upon a time… - c’est-à-dire avant 2005 - SAP avait l’honnêteté contractuelle de fournir à ses salariés des avenants à leurs contrats de travail qui formalisaient leurs objectifs annuels et précisaient le montant de salaire variable obtenu en contrepartie. Certains salariés pouvaient ainsi négocier leur « bonus » et l’adapter en fonction des moyens à leur disposition.